Tulum, des papillons virevoltent dans mon coeur dès que l’on prononce ton nom !
Je suis tombée sur toi, comme l’on tombe d’une chaise.
J’aime ta collerette turquoise qui te borde jour et nuit,
Tes ruelles qui me toisent en me chuchotant “Reste ici.”
Et tes vestiges Maya perchés sur leur falaise,
Font tomber dans l’oubli le moindre des malaises.
Ton énergie paisible, m’enveloppe dans un cocon.
Je suis tombée sur toi, comme tombe la pluie,
Un jour de Novembre, comme ça, sans un bruit.
J’aime ta force tranquille, tes douces vibrations.
Tu l’auras compris, c’est une déclaration.
Et tes plages infinies, et ta nature sauvage,
Ne seront jamais égalées par mes babillages.
C’est au bout du Monde que j’ai trouvé mon toit.
C’est au bout du Monde que je t’ai trouvé, Toi.
Durant des années, je t’ai traquée, cherchée,
Et voilà que tu débarques du haut de ton perchoir,
Dans un vacarme du diable, venue de nulle part !
Tulum, plus qu’une ville, tu es comme une soeur,
Celle qui écoute, aimante et qui prend tout mon coeur.
Toutes deux venues d’une riviera, ce lien indéfinissable,
Qui me rend sensible à ton supplément d’âme,
Ton visage me revient comme un doux refrain,
Tulum, mon Amour, que j’aime tes embruns !
merci, c sympa :)
Ton texte est magnifique !!! Et je comprends parfaitement ton sentiment envers Tulum ! :)
C’est très “bô” ton poème ;)
Je voulais te demander, si par hasard tu as connu une Valérie là-bas, une très bonne amie à moi qui a élu domicile là-bas.
Encore bravo pour ce joli texte.
Bonjour Sébastien ! Merci pour ton petit message. Désolée mais je ne connais pas Valérie ! Il y a décidément beaucoup de français qui ont décidé de vivre au paradis ! Très sympa ton blog par ailleurs, oui j’y suis déjà allée faire une vadrouille ;)